IV. Véritable naissance

 
 
Treize jours ont passés, pendant que nous venons en aide aux villages, des enfants ont été enlevés, même les nouveaux nés. Nous avons enquêter et découvert qu'une secte est responsable des enlèvements et se cache dans une caverne. Nous avons tenté de les trouver et de sauver les enfants... Mais aujourd'hui, me voici sans arme, les mains ligoter, entre deux personnes en bures blanches qui me conduisent devant un autel où un nouveau né attaché se prépare a être sacrifier par la chef de culte. Elle ne cesse de lancer des prières et des annonces, mais quelle surprise de découvrir qu'ils ne sont pas de l'empire. Ils croient au retour des archanges, ce sont des dieux qui demande des sacrifices des premiers nés pour être réveiller et le sacrifice de l'élu d'Izural et de ses disciples pourrait aussi la ramener... La chef du culte annonce que les deux disciples ont le droit d'effectuer le rituel et du sacrifice, l'un me met à genoux devant l'autel tandis que l'autre prend le couteau du rituel. Il la lève au dessous de sa tête tandis que la prêtresse lance les incantations... Je ne peux rien faire, a part regarder...

L'arme se baisse, plus bas... plus près de l'enfant... La lame finis par plonger et trancher...la corde qui lie l'innocent a l'autel, tandis que l'autre disciple tranche mes liens. Les fanatiques n'ont pas le temps de réagir que Dnarmass, Hélène et Mathius retire leurs bures et les neutralise avec leurs armes. Pendant ce temps, les deux personnes qui m'ont capturés, montres leurs visages et sortent leurs armes : Simon et Églantine, tandis que je me lève et sors mon épée pour neutraliser la prêtresse. Les recrues lancent les sphère de lumière avec moi et je blesse les gardes qui tente de protéger la prêtresse. Elle sort son épée et m'attaque, mais ce ne sont pas des guerriers, j'évite l'attaque, lui saisit le poignet et serre si fort, qu'elle lâche l'arme et se met a genoux. En peu de temps, des fanatiques ont été tués ou neutralisés et les enfants libérés. La prêtresse annonce que ses guerriers reviendront pour elle une fois qu'ils auront capturés les autres paladins. Je l'assomme moi même avant de l'attacher et de la conduir avec les autres vers le village à pas rapide.

Plus tard, nous arrivons au village, les corps des fanatiques sont a terre ou ligotés. Maria, Théodore, Jean, Kelvir, et Kalissor nous font signe et nous rassemblons les prisonniers, les enfants cours vers leurs parents en pleurant de joie. Hélène passe le nourrisson à sa mère reconnaissante.Tout le monde va bien, ils sont sain et sauf.

Kelvir souligne- « Avec l’expérience de Kalissor, tes recrues auraient très bien pu aussi briller sans moi. Et a ce que je vois, la stratégie a été efficace de ton coté. »

- « Oui, c'était risqué. Mais prendre la place de certains fanatique et me faire passer pour prisonnier était un bon moyen d'approcher cette secte et de savoir ce qu'elle préparait. »

La pretresse crache sa rage- « Bande d'idiots ! Vous avez tout gâcher ! Les archanges doivent revenir pour que la guerre prenne fin ! »

Je lui lance un regard noir- « En vidant des enfants innocents de leur sang ? »

- « Seul la pureté appel la pureté. C'est un sacrifice nécessaire. »

- « Vous avez torts, Les archanges se sont battus sans demander l'aide des autres, pour vous protéger mais aussi pour vous donner une chance de vous préparer. Ils ont partager leur savoir, mais tous les peuples se sont développer par eux mêmes. Même s'ils revenaient à la vie, vous croyez vraiment qu'ils seront ravis de voir une bande de meurtrier couvert de sang d'enfants ? De savoir que leur sacrifice a inspiré l'infanticide ?»

Mathius interviens- « Ils auront tout le temps d'y méditer une fois en prison. »

Aymerix sur sa fourmis arrive avec des soldats, Ils emmènent les fanatiques dans une cage avec des vivres pour la route. Théodore s'approche de moi et m'accoste.

- « Je suis heureux que nous ayons pu sauver ses enfants. Et grâce a vous, j'ai appris beaucoup de choses. »

- « Dis moi ce que tu as appris... »

- « Que les problèmes visibles et impressionnants cachent d’autres problèmes plus discret mais tout aussi important. L'empire nous fait parfois oublier qu'il y a des personnes dans le besoin. Si on avait pas prêter attention a ces gens, on aurait jamais découvert cette bande de fou et les villages serait rester dans les difficultés et le désespoir qui a créer cette secte. Je peux le dire maintenant, je suis fier de ce que j'ai accomplis en tant que paladin. Vous aussi les amis ?»

Les six recrues lèvent les bras et crient d'approbation. Une telle approbation me fait rire un peu et me donne du réconfort. Je pense qu'il est temps de passer a la fin de l'épreuve. Je monte sur une caisse et appel tout le monde. Mes amis et les villageois sont également là.

- « Écoutez moi tous. Votre épreuve est finie, vous avez prouvé votre valeur. Pas au combat, ni avec vos pouvoirs, mais avec vos actes. Vous auriez pu partir combattre l'empire a tout moment, mais vous êtes resté. Plus important encore, vous étiez tous motivés et clairvoyant dans la portée de cette tache. Je déclare donc que non seulement que vous avez tous les sept prouver votre valeur, mériter votre place. Mais par dessus tout, vous avez permis à notre organisation de prouver qu'elle mérite d'exister. Pour célébrer cette étape franchie, je déclare que nous méritons un nom ! Nous sommes dans la nuit sombre de cette guerre pour y mettre fin et espérer voir la lumière de la paix. Nous marchons vers cet autre monde qui sera le jour nouveau. A partir de ce soir, nous serons connus comme : la confrérie des marcheurs de l'aube ! »

Tous m'acclament et acclament mes compagnons. Nous sommes réellement un ordre de paladin à présent ! Les gens vont pouvoir nous nommer, nous reconnaître. C'est ici, ce soir même, que notre confrérie est véritablement née. Il y a encore beaucoup à faire, mais les exploits de nos actes vont peu à peu déclencher la suite des événements. Bientôt, je devrais reprendre Izural et obtenir le titre de maître... Nous affronterons l'empire bien avant cela, mais de façon intelligente pour commencer. Mais l'heure n'est plus à la réflexion, nous avons tous mérités du repos et de fêter cette soirée.


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