XXVII. La torche de l'espoir
 
Depuis notre échappé, tous connaissent l'existence de la Bête et des plans de l'empire. Aussi, le trio venant de l'empire sont reconnus comme des héros et la preuve que notre véritable ennemi est Shaktor et l'empire, pas les vampires, ni les démons , ni même les ombrologues. Les quatre royaumes ont travaillés ensemble et ont envoyés des raflims portant des gemmes enchantés capables de les déguiser pour espionner les mouvements de l'ennemi. Aujourd'hui, nous savons qu'ils vont envoyer une grande armée avec la bête et menée par Raborin, Phen, Arios et Tramgor, ainsi que tous les pardonnés restant. Mais ce n'est pas tout : pour empêcher les renforts de venir, toutes les troupes d'occupations vont attaquer en même temps. Le tout est de savoir où se fera l'assaut avec la bête et donc la plus dangereuse. Pour l'instant, les hommes ont quitter leurs avant postes pour se replier vers leurs plus proches bastions.
 
Notre plan est simple : Aymerix, Kelvir, Amalia et moi prendrons un batailon de paladins et de volontaires de Morlaxine pour défendre le lieu le plus menacé, le reste de l'ordre et les anges iront au secours de deux cibles voisines pour ensuite se rejoindre et nous venir en aide. Les cités secourus par eux même iront aider les autres. En clair, nous nous assurons que l'ennemi ne perce pas nos lignes. Fort heureusement pour nous, une nouvelle viens d'arrivée : Raborin et ses alliés se dirigent vers la plus importante forteresse. La torche de l'espoir, un lieu construit sur Moyadil par les quatre royaumes, qui n'a été prise qu'une fois par l'empire, quand ce dernier était en train de conquérir le territoire et d'encercler les gardes, les forçant a partir. Quand les hommes ont repassé le fleuve Siris,ils ont encerclés à leur tour les lieux et négocié la forteresse contre la vie sauve des soldats et des officiers prisonniers. Du coup, ils ont repris les lieux intact et ont apportés des améliorations. Étant en petit nombre, nous avons pu rejoindre ce bastion avec plusieurs jours d'avances.
 
La Torche de l'espoir est bien plus impressionnante que Némium. Son château est immense avec quatre tours, des trébuchets et des canons. Ses portes de bois épaisses sont des plus solides. Le tout est entouré par des murs et des tours avec des armes de sièges. L'entrée est protégée par une herse d'acier. Les bâtiments autours sont principalement des casernes ou des baraquements fortifiés et les murs qui les entoure sont hauts et épaisses, tous aussi bien équipé que les murs du château. L'entrée de constitue d'un petit couloir protégé par deux immenses portes en métal. Une troisième muraille, plus fines et plus petite avec juste quelques petites tours entoure la moitié terrain. Il n'y de la place que pour des petits canons et deux rangées de gardes. Une tranchée parsemée de pieux protège ce mur et l'entrée est munis d'une porte de bois solide et d'un pont levis. L'espace est occupée par six tours de garde solitaires. La dernière muraille est faite de bois et de petites pierres, trop fine pour se placer au sommet et avec seulement quatre tours de bois. L'entrée possède une porte plutôt mince et pas d'armes de sièges pour se défendre. Enfin, quatre petits avant postes faites de bois, de pieux et de toiles, protège la première muraille et son entrée. Voila ce qu'est la torche de l'espoir : une immense cité forteresse et un atout majeur pour celui qui l'occupe. Seule une puissante armée comme celle escortant la Bête ou certaines pressions comme par la passé, peut en venir a bout.
 
Depuis notre arrivé, nous avons passés des jours à préparer nos défenses, consolider les portes et élaborer nos tactiques. En plus des gardes et de nos hommes, Moyadil, Drael et Tol'wasso ont envoyer autant d'hommes possibles renforcer la garnison. Un puissant clan orc qui a décidé de mourir au combat plutôt qu'en paix, a accepté de nous aider. Leur salaire est versé à Renkshu. Un petit groupe de nécromanciens revenus de Trokramus, sont venus nous prêter mains forte pour réparer leurs actes de guerre envers les peuples libres. Nous sommes nombreux, mais si les renforts ne viennent pas à temps, nous serons tous morts. Aujourd’hui, alors que l'ennemi approche à grands pas et que les guerriers se préparent. Je prends un bain, sans doute le dernier avant longtemps et après m'être lavé, séché et habillé. Je rejoins Amalia, déjà prête au combat. Après avoir enfiler l'équipement de mithril, l'ange me parle tout en m'aidant à mettre l'armure, en commençant par les jambières.
 
- « Chérie, tu as déjà pensé que tu devais arrêter ?»
 
- « Depuis que nous avons créer les marcheurs de l'aube, j'y songe a chaque homme ou femme qui meurt... Chaque personne qui perde la vie parce qu'ils ont crus en nous et en notre but. Edward, Robin et Leonora ne sont que les derniers d'une longue liste qui va s'allonger encore et encore... »
 
Elle attache les boucles de mon plastron - « Alors ? Qu'est ce qui te retiens si le poids de ces morts est si grand? »
 
Je mets mes gants et avants-bras - « Ceux que nous avons perdus justement. Chaque perte me retire un peu plus le droit d'abandonner. Ces gens ont cru en la fin de la guerre. En donnant leurs vies, ils nous ont léguer leurs espoirs et leurs rêves. Ce n'est plus seulement notre combat Amalia, c'est aussi celui de plus d'un millier de personne... Non... en fait, c'est le combat de tous... Nous en avons seulement aider certains a s'impliquer.»
 
Elle me sourit en finissant de m'aider. - « Voila l'élu d'Izural, l’homme que j'aime et que j'ai épousé. Le paladin avec qui je vais combattre une nouvelle fois... »
 
Je lui souris tout en mettant le tissus blanc, puis en bouclant ma ceinture avec mes armes et mes sacoches. Aymerix viens me chercher pour nous prévenir que l'empire est en vue à l'horizon. Je termine de m'équiper avant de partir rejoindre le second mur. La bataille va commencer....
 
Beaucoup plus tard, Aymerix et moi sommes sur le deuxième murs avec les gardes. Je me suis équipé en plus de mes lames, d'une ceinture sur le tronc portant au dos un bouclier et une lance et au torse quatre pistolets. Enfin je tiens un fusil dans ma main droite. Les tambours résonnent et les étendards de l'empire flottent au vent, une masse immense recouvre l'horizon et le ciel recouvert de nuages laisse tomber la neige. Je vois beaucoup d'armes et de tours de siège. Il y a même deux ou trois dragons... C'est vrai que ces créatures sous les ordres de Shaktor ne sont pas très nombreuses. Mais elles doivent être neutralisées si nous voulons gagner un maximum de temps, mais même là, si la bête est lâchée... Je chasse les doutes de mon esprit et regarde les forces du premier mur : les nécromanciens ont réanimés autant de morts possible pour défendre les lieux et des balistes sont mise en place. Mais les avant postes sont défendus par une poignée de gardes très âgés, voulant mourir au combat. Entre le second et troisième mur se trouve deux trébuchets et plusieurs canons. Les tambours cessent, le calme et la tension règnent en maître. Tout au loin, Raborin et les autres transmettent lentement les ordres... Dans quelques secondes, tout va basculer.
 
Des groupes de soldats envahissent les avant postes, les flèches et les tirs fusent. En formation carapace, les impériaux se protègent tandis que les canons frappent d'un coup les petites tours et les barricades. Ils investissent et abattent rapidement nos combattants, mais tout à coup, les quatre avant poste explosent et tuent plusieurs démons et vampires. Ces hommes voulaient mourir au combat en emportant le plus d'ennemis possible. Mais vu que les avant postes ne pouvaient tenir plus de quelques minutes, nous les avons bourrés d'explosifs, les transformant en pièges. Mais les impériaux ne bronchent pas, quatre poignées de soldats de moins n'égratignent pas cette armée. Mais un ennemi en moins, ça aide toujours.

L'envahisseur se place devant le mur de bois et commence l'assaut. Les archers échangent les flèches, mais seuls les impériaux sont blessés, puisque les morts vivants n'ont pas de soucis avec les organes et la chaire. Contre le bélier, la porte tiens bon pendant quelques minutes avant de céder. Le reste des morts forme une carapace et comble l'entrée, forçant l'ennemie a se battre au corps a corps. Les nécromanciens se concentrent depuis notre mur pour les commander à distance tant bien que de mal. Pendant une demi-heure, l'ennemi est contenu, mais ensuite, les dragons s'envolent et enflamment le mur, sauf l'entrée pour épargner leurs soldats. A leurs deuxième passage, nous contre-attaquons avec les balistes et sortilèges, les projectiles d'acier enduis de poison en touche deux. Le premier reçoit des cieux les foudres de Kelvir et tombe dans les airs. Le second enflamme une deuxième fois le murs et une fois en visant les balistes avant de gesticuler et de s'effondrer. Le troisième, visiblement plus âgé, évitent les tirs et se dirigent vers nous. J'ordonne aux balistes de viser les légions ennemi et donne l'ordre aux maîtres paladin de charger leurs pouvoirs sur leurs armes à distances. Tandis que les mortiers derrières nous envois des boulets chargés de lumière. Ne s'attendant pas à des boulets renforcés, la dragon finit par mourir juste avant de pouvoir nous attaquer. Pendant ce temps hélas, les troupes morts vivants sont submergées et l'empire passe et écrase le mur... non sans avoir entre temps déclencher des pièges posés ici et là. Les nécromanciens se replient vers le troisième mur tandis que les impériaux installent les armes de sièges. Les brèches étant nombreuses et grandes, l'empire afflue et en une heure, les quatre tours de bois s'effondre non sans avoir eu plusieurs soldats. Cette fois le véritable siège va commencer. Au moins, nos dernières nouveautés ont pu donner un effet de surprise mortel aux dragons.

En carapace, les soldats avancent jusqu’à la tranchée, tandis que les archers tirent. A l'abri, j'ordonne une première volée de flèches. Les tours commencent à avancer tandis que les échelles seront bientôt là. A mon signal, j'ordonne aux mortiers et aux trébuchets de tirer, la première salve tue tous ceux qui ne peuvent se protéger par la magie. Une pierre percute et abat même une tour et quelques échelles sont détruites sous les mortiers. Je fais cesser les tirs quand je remarque les catapultes ennemis prêtes a tirer. Tous le monde se protège et les paladins créer des boucliers pour y aider. Le mur résiste très bien et il y a très peu de perte, deux mortiers sont hélas détruits sous les pierres des catapultes. Je prend mon fusil et laisse Aymerix prendre la suite. Sous son ordre, les hommes lancent des explosifs sur la carapace, peu de dégâts mais cela crée des faille dont les tireurs et archers profitent. Les maîtres paladins usent de la lames du brave sur les balles et les flèches qui percent les pavois et blessent les ombrologues sous forme d'ombre. De mon coté, j'utilise mon fusil pour viser le plus d’officiers possible ou les archers.
 
Après avoir user de toutes mes balles, les échelles arrivent et se placent contre le mur. Je lâche mon fusil et sort la lance et le bouclier, mais avant de me battre, j'ordonne aux canons et à toutes les armes de sièges derrière de tirer. Les trébuchets du terrain, du troisième mur, les mortiers et les canons du second mur crachent le feu et le métal. Plusieurs tours tombent, des catapultes sont détruites et les soldats meurent en nombres, le petit bélier et leurs porteurs ne sont plus un problème. La salve a été meurtrière, cette fois nous avons égratigné l'envahisseur. Je me place près d'une échelle et donne un coup de pied pour le faire tomber, je passe au suivant et fait la même chose.
 
Des soldats arrivent et le corps à corps commence, nos hommes combattent l'ennemi tandis que les archers tirent en bas ou repoussent les échelles. Un colosse arrive au somment d'une échelle devant moi, je charge immédiatement avec le bouclier et le pousse, entraînant l'échelle avec lui. Je me retourne et bloque un coup de hache avant de contre attaquer en visant la gorge. Nous lançons une nouvelle salve, mais les magiciens de l'empire détruisent les pierres ou créent des protections de glace, de pierre et de terre pour limiter les pertes. Je me concentre sur les soldats de l'empire et ordonne que les canons du mur ne visent que les tours de siège à portée. Une magicienne de foudre arrive et envois une mortelle décharge à nos hommes en armures lourdes. Elle passe à un autre groupe quand je bondis et atterris devant eux pour les sauver avec le bouclier du paladin. Je contre attaque avec un arc tranchant qu'elle bloque avec difficulté avec des éclairs, mais elle n'a pas eu le temps de remarquer ma charge et se retrouve empalée. Je charge une nouvelle fois et fonce sur un guerrier. Je m'abaisse et le soulève avec le bouclier pour le faire tomber hors du murs. Je passe entre nos gardes et repousse l'ennemi pour qu'ils puissent repousser une autre échelle. Je vois une arbalète viser un de nos mages, j'interviens à temps et bloque le carreau qui se fige dans mon bouclier. Le sauvé en profite pour lancer une boule de feu sur son agresseur. Une salve de pierres et de boulets ennemie frappe le mur, parfois au même endroit, des fissures apparaissent et une partie de l'épaisseur s'écroule dans la partie ouest. Mais c'est encore insuffisant, surtout avec la tranchée. Un groupe important de soldats, mené par un ombrologue arrive en masse sur les échelles à l'est et reste groupé pour frapper fort. Je fais plusieurs grand bons pour rejoindre l'est avec Aymerix. J'attaque l'ennemi avec la lance chargée de la lame du brave. J'en tue deux avant que l'ombrologue me barre la route, Il lance une puissante vague noire, je cesse mon sort pour la faire passer au bouclier. Avec l'astuce de Kalissor, je traverse les ténèbres facilement et frappe au visage qui le fait brûler. Puis lance un arc tranchant à bout portant qui lui crée une belle entaille et lui fait lâcher ses armes, je remet mon sort sur la lance et vise le coeur. Les derniers soldats ne poseront pas de soucis contre moi et le semi démon.
 
Après avoir battus les soldats et repousser deux échelles, je remarque que les tours de sièges sont toutes proches. Une salve de canons est tirée et certaines tours tombent, mais quelques unes arrivent au mur et des démons débarquent en nombre. Les gardes se mettent en formation autour des tours arrivées pour contenir l’assaut jusqu’à ce que nous repoussons ses engins. Je me charge de celle près de l'entrée et commande les hommes à mes cotés. Les boucliers en avant avancent, le choc des armes résonnent. A mon signale, nous soulevons brusquement nos boucliers, emportant les bras ennemies et ouvrant une faille pour nos armes. Nous reprenons la position défensive et attendons un moment avant de nous baisser pour laisser les archers et tireurs abattre plusieurs démons. J'entends derrière moi une tour qui tombe et me lève avec les autres. Nous avançons et arrivons devant la tour. Tous mes paladins envoie à mon signal une vague d'arc tranchant qui, avec l'aide des mages, fait tomber la tour. Nous nous concentrons ensuite sur les autres ennemis qui tentent de prendre le contrôle de la partie supérieur de l'entrée.
 
La bataille se déroule bien durant quelques heures, et ensuite, un magicien de feu lance une vague de flammes sur nous, heureusement tous sont sauf avec le bouclier du paladin. Mais le mage n'en profite pas pour attaquer, il saute dans le vide entre le pont levis et l'entrée ! Je remarque trop tard les explosifs attachés sur lui. Une explosion se produit au sein de l'entrée, la porte n'a rien, mais les chaînes sont brisées et le pont levis tombe. Un grand bélier arrive et va bientôt agir. Une attaque suicide... Quelle idée tordue... D'autres tours de sièges se déplacent aussi, sous mon ordre, les gardes devant la porte se préparent pour jouer leur rôle tandis que nous repoussons les échelles et les tours déjà présentes. J'entends le bélier déjà frapper la porte.
 
Après plusieurs minutes de combats, nous repoussons la vague d'invasion, mais la porte cède sous le bélier, soutenus par des tirs de canons. Nos hommes en carapace comblent l'entrée et obligent les soldats ennemis a venir en petit nombres. De notre coté, une nouvelle salve de projectiles ennemis nous fait perdre quelques canons et plusieurs tours de siège arrivent devant le mur. A peine nous combattons la nouvelle vague qu'une partie du murs s'écroule et que des racines énormes se forment et comblent la tranchée devant la brèche, nos hommes occupent déjà l'espace pour empêcher l'ennemi d'entrer.

Nous combattons pendant à peu prés deux heures avant que je ne réalise que l'ennemi commence a nous submerger. Nous avons peu de perte et les soldats sur les brèches tiennent très bien le coup, mais les impériaux vont être trop nombreux et tout le murs va être occupé. J'ordonne le repli vers le troisième mur, Les paladins usent de leur bouclier magique pour permettre aux guerriers de quitter le murs. Quand nous avons terminé l'évacuation, je lance mon bouclier chargé de la lame du brave, qui coupe en deux une tête. Un puissant guerrier frappe avec sa hache à deux mains et brise en deux ma lance, j'enfonce la partie inférieur dans la gorge et charge la partie supérieure du sort de maître et la jette sur un mage de foudre. Je saute du murs et atterris sur le sol, ordonnant à nos hommes sur les brèches de se replier à leurs tours. Les archers et tireurs en arrière sont avec les paladins pour retenir les soldats. Le repli se passe bien, vu que l'armée impériale doit passer par de petites failles jusqu’à ce qu'ils détruisent le murs suffisamment pour faire passer les armes de sièges. J'appelle Taedar et la cavalerie, elle fauche les impériaux en nombre avant que leur cavalerie ne passe le mur. Je saute sur mon compagnon et prend un arc et des flèches. Nous engageons le corps à corps. Jusqu’à ce que l'empire avance en nombre. Nous fuyons et poussons les cavaliers ennemis à nous suivre, avant de les abattre derrière nous. Piéger l'ennemi en faisant croire à la lâcheté, une belle ruse. Nous arrivons dans la forteresse, les portes se ferment et se font consolider. Nous nous reposons un moments de repos avant qu'Aymerix répartis les soldats tandis que je rejoins Kelvir et Amalia sur le murs.
 
De loin, je regarde l'empire envahir le terrain, les brèches grandissent et se multiplient tandis que la tranchée se fait boucher par les mages de terre impériales. Les régiments avancent en rangs serrés et reçoivent les salves des canons et des mortiers sur le terrain. Nos mages de terre cessent leur pouvoirs et les impériaux tombe dans des pièges remplis de pieux tandis que les soldats sur les tours isolés se battent jusqu’à la mort. Ils ralentissent l'ennemi pendant longtemps jusqu’à ce que les armes sièges arrivent pour frappent les tours et les canons. Nous avons gagnés un temps très précieux. Il a fallut à Raborin et sa clique plusieurs heures pour mettre ses troupes en position ainsi que ses engins de malheurs, toujours aucune trace de la bête.   La nuit tombe, bientôt, le siège va reprendre. Nous attendons, patiemment et nos hommes récupèrent au plus vite.

 



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